Jeudi 25 septembre 2008 à 14h :
« Psychologie sociale et travail social » Véronique VALBIN (psychologue clinicienne)
Psychologie sociale : conception qui étudie le lien entre l’individu et la société.
INDIVIDU ET SOCIETE : l’un ne va pas sans l’autre. La psychologie sociale est là pour développer ce que sont les conflits entre les deux.
Psychologie clinique…….
ETUDIE LE DEVELOPPEMENT DE L’INDIVIDU
Psychanalyse ……………… ( induire le concept de l’inconscient )
S’il y a SCIENCE d’une manière générale, c’est parce que les sciences répondent à une question. (ex : la physique..qu’est ce que la matière ? / la biologie….qu’est ce que l’origine de la vie ? )
Psychologie sociale : interaction entre deux sciences.
En quoi le rassemblement de plusieurs individus donne lieu à une étude ?
Un groupe : c’est un ensemble de normes qui vont créer une moyenne. Un groupe ne peut pas exister sans ses extrêmes.
Cf. note car schéma
Une moyenne ……….en terme de valeur, de culture, de résolution de problème : c’est ce qui va déterminer un groupe.
L’idéologie et la communication : dans cette catégorie là, on y met les préjugés, les représentations et les croyances.
L’objet central de la psychologie sociale est partagé par un grand nombre
Notion de seuil de tolérance de la différence
L’influence : capacité d’un certain nombre à impulser un mouvement que d’autres vont suivre.
• Représentation commune qui va permettre à certains de se reconnaitre.
En 1930, origine de la psychologie sociale :
• Comment choisir ceux sue l’on va envoyer à la guerre ?
• Comment on peut déterminer un leader ?
Mise en place d’études, de tests pour tester un plus grand nombre.
EFFET HAWTHORNE (E.U, 1930)
Entreprise dont le patron s’interrogeait sur l’augmentation de sa productivité ; donc il a payé des ingénieurs et ils se sont rendus compte qu’il était possible d’améliorer la productivité grâce à l’éclairage.
Question SUJET D’ETUDE GROUPE TEMOIN
Variation de la lumière aucune variation mais observation de la cadence
En quelque sorte c’est l’EFFET PLACEBO
Les deux groupes ont produit plus : le fait de s’intéresser à elles a développé la motivation personnelle
Cela a révolutionné la manière du management
De cette étude, est né les postes intermédiaires (ex : les managers) : personnes qui sont là pour motiver les gens.
La guerre a eu besoin de ces études dans la mesure où on avait besoin de construire des équipes le plus vite possible.
ELTON MAYO (1880-1949) : observer les gens à un effet sur leur sensibilité
ABRAHAM MASLOW (1908-1970) : construction de tests, d’une pyramide
Accomplissement Personnel
Estime de Soi
Estime des Autres
Amour, Appartenance
Sécurité
Physiologique
Pyramide des besoins
La pyramide des besoins schématise une théorie élaborée à partir des observations réalisées dans les années 1940 par le psychologue Abraham Maslow sur la motivation. L'article où Maslow expose sa théorie de la motivation, A Theory of Human Motivation, est paru en 1943. Il ne représente pas cette hiérarchie sous la forme d'une pyramide, mais cette représentation s'est imposée dans le domaine de la psychologie du travail, pour sa commodité. Maslow parle, quant à lui, de hiérarchie, et il en a une vision dynamique.
La pyramide est constituée de cinq niveaux principaux. Nous recherchons d'abord, selon Maslow, à satisfaire chaque besoin d'un niveau donné avant de penser aux besoins situés au niveau immédiatement supérieur de la pyramide. Sans surprise, on recherche par exemple à satisfaire les besoins physiologiques avant les besoins de sécurité : c'est pour cela que dans une situation où notre survie serait en jeu, nous sommes prêts à prendre des risques.
Pour faire passer un message, il y a trois façons :
1. L’autorité : on sait que les personnes adhèrent et acceptent l’autorité mais on ne sait pas ce qu’elles pensent
2. Participatif : l’autorité en attendant une réponse c'est-à-dire savoir ce que le groupe a retenu
3. Laisser faire : anarchie : on fait passer le message et laisser libre le groupe
A qui on s’adresse ?
Notion d’adresse
Question de méthode
FAIRE INTERACTION ENTRE L’INDIVIDU ET LE CADRE : cela suppose d’avoir un sens de l’observation pour que le message passe